vendredi 31 janvier 2014

Cavana

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Voici le genre de chose que je me contente de publier sur twitter, mais la citation était trop longue et il aurait été trop dommage de la tronquer. Après le banjo de Pete Seeger, c'est la pipe de Cavanna qui tombe en morceaux.

"La disparition de celui qui enrageait contre la connerie sonne comme un symbole au moment où les cons de toutes obédiences se sentent pousser des ailes."

lundi 27 janvier 2014

Préface à Thérèse Raquin

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"Ils me reconnaîtraient le droit, en ces temps de liberté dans l'art, de choisir mes sujets où bon me semble, ne me demandant que des œuvres consciencieuses sachant que la sottise seule nuit à la dignité des lettres."

Émile Zola

dimanche 26 janvier 2014

Les traces, la fantaisie militaire et Jésus

Canon 400D - Pentacon 29mm 1:2,8

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Les traces, forêt Communale de Sierck, 2014

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La fantasie militaire, forêt Communale de Sierck, 2014

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Jésus, forêt Communale de Sierck, 2014

lundi 13 janvier 2014

Gris Métal

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"J'aime ton goût un peu salé
J'en ai besoin deux fois par jour
Je me laisse complètement aller
 
Regarde c'est la mort mon amour"

Bertrand Burgalat

dimanche 12 janvier 2014

Calle sin Salida


calle sin salida junk

Valparaiso, Chile, 2010
tentative de tirage d'une pellicule voilée...

dimanche 5 janvier 2014

Black hole

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"She turned toward me and I just stood here like an idiot... staring.
Her eyes were so dark... Deep blue eyes with huge dilated pupils.
Black hair against white skin. The bright fluorescent light in her kitchen made it look even whiter... So white it was almost transparent. You could see a network of soft blue veins just under the surface."

Charles Burns

jeudi 2 janvier 2014

Désert

désert

J'avoue que j'ai vécu

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"Je veux, quand je mourrai, être enterré dans un nom, un nom sonore bien choisi, pour que les syllabes chantent sur mes os, près de la mer."
"Je regarde les vagues légères d'un nouveau jour sur l'Atlantique.
Le bateau laisse de chaque côté de sa proue une déchirure blanche, bleue et sulfurique d'eau, d'écume et d'abîmes remués.
Ce sont les portes de l'océan qui tremblent.
Au-dessus passent les minuscules poissons volants, faits d'argent transparent.
Je reviens de l'exil.
Je regarde longuement ces eaux sur lesquelles je navigue vers d'autres eaux : les vagues tourmentées de ma patrie.
Le ciel d'une longue journée couvre tout l'océan.
Puis la nuit viendra qui cachera de son ombre une fois encore le grand palais vert du mystère."

Pablo Neruda