vendredi 23 février 2007

Paris

Canon EOS 400D - 35/105

Paris 166(1)Paris 165Paris 161Paris 173(1)Paris 124

Paris 142Paris 185

Montmartre, Paris, 2007

Paris 228Paris 225Paris 234Paris 230Paris 240

Bords de Seine, Paris, 2007

Paris 12(1)Paris 44Paris 74Paris 243Paris 112Paris 14

Gateau au biscuit (et au chocolat)

Ingrédients :
  • Oeufs
  • biscuits
  • sucre semoule
  • tablette de chocolat
Battez les blancs avec le sucre de façon à obtenir un émulsion légère (cela ne veut rien dire, en effet), mais ne pas les monter en neige. Ajoutez les biscuits et le chocolat en petits morceaux. Pour ce qui est des quantités, il faut s'arranger pour obtenir une pâte liquide mais épaisse. Mettez au four jusqu'à ce que ce soit cuit.

dimanche 18 février 2007

Les temps changent

Berlin (22)

"J'te parle du temps du salut dans la rue, de la simplicité, mais cela n'existe plus. "Sans blague !". Les gens s'affichent comme des tags, on drague même avec un phone portable."

MC Solaar, 1997

L'égoïste romantique

coucher de soleil 5

"Samedi.
On croit qu'en vieillissant on s'endurcit mais c'est faux : on tombe amoureux tous les jours, au détour d'un regard au son d'un rire cristallin dont le coeur se souvient. Simplement on se retient parce qu'on sait où cela mène."
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"Vendredi.
De plus en plus, je m'aperçois que j'incarne tout ce que je critique. Il ne faut pas me le reprocher : c'est probablement la seule chose intéressante chez moi. Si je suis tout ce que je déteste, c'est parce que j'estime qu'il est trop facile de critiquer autre chose que ce qu'on est."

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"On aime les êtres que lorsqu'ils nous rejettent ou nous échappent"

Frédéric Beigbeder

lundi 12 février 2007

Gibraltar



Du beau peu jaillir la laideur absolue
À force de vouloir se faire rue on est devenu caniveau
C’est pas que c’est inutile un caniveau, c’est qu’on est devenu des pas beau
Abd Al Malik

Si je vous parle de Brel et de Loïc Lantoine, du piano de Nina Simone, vous me suivez, mais si je continue en vous parlant de Solaar et d’Akhenaton, là vous vous demandez où vous allez. Ça faisait très longtemps que je n’avais pas entendu de rap aussi bon, des phrases aussi bien écrites, justes et pleines d’une réelle réflexion. Le rap a bel et bien pris la direction du caniveau, mais il semble que certains bics tentent de lui tracer un retour sur le plancher des trottoirs.

samedi 10 février 2007

Connie

givre017

Accords : de façon assez improbable : Rém Do Fa Do Rém Do Fa7

"Want to see Connie, Connie

Wants to see me, Connie

‘cause I hate my body and I love hers

Got to see Connie, Connie

Has to know me, Connie

What a silly idea, but I love her


Soon the boy's feeling really bad

And it's creeping out of the line

Trying to escape from the sun

I think I've said enough

I cry and I laugh

Considering the both sides of my love


Some say I'm hiding a gun

Buried in the sand

When I only got love in my hand"


Syd Matters

La Marseillaise


Il y a deux ou trois semaines, un dimanche, j’étais à table quand mes cousines qui sont en primaire ce sont mises à chanter la Marseillaise. J’ai eu un pincement au cœur, ce qui ne pas empêcher de me resservir du pot au feu, mais bon… Il est vrai que je suis loin d’être l’exemple du parfait patriote, et du plus loin que je puisse me souvenir la seule Marseillaise que je n’ai jamais entendue est celle de Gainsbourg. Coïncidence, ou pas, en cherchant les paroles des chansons qui ont bercé mon enfance, à part Gainsbourg, je suis tombé sur le site de l’association de Graeme Allwright. Pour ceux qui ne connaîtraient pas Graeme Allwright c’est un chanteur d’origine néo-zélandaise, qui débute sa carrière de chanteur en France dans les années 60. Chanteur à la fois très engagé et très réservé, il à toujours eu peur que les médias déforment les messages portés par ses chansons. Il a aussi participé à faire connaître le chanteur canadien Léonard Cohen en traduisant une partie de ses chansons .Il s’insurge donc sur le caractère belliqueux et violent des paroles de la Marseillaise et veut grâce a son association faire pression pour en changer les paroles.

Syd Matters


Un moment d’intense mélancolie, ce genre de mélancolie qui n’a pas de fin. On s’y sent enveloppé comme dans la brume, on a froid mais ce n’est pas désagréable. La douce sensation de ne plus rien contrôler s’est emparé de notre esprit, toutes les responsabilités, les pressions se sont envolées. Une tranquillité lancinante, feutrée et grise.