"les propos racistes, quelque soit leur nature, sont honteux et indignes et doivent être condamnés"

"les propos racistes, quelque soit leur nature, sont honteux et indignes et doivent être condamnés"
‘06
FRI 11-17
22 : 42
ceci est l’article que je n’écrirai pas sur l’Auberge Espagnole.
j’veux repartir je veux vivre viens avec moi
« […] j’ai commencer à penser à toi quand tu n’étais pas là, puis à penser tout le temps à toi au point que rien n’avait plus d’importance que la prochaine fois où j’allais te voir. Mais je savais pas que c’était cet état de manque qu’on appelle l’amour, parce que dans les livres c’est toujours raconté différemment, avec d’autre mots et dans la vérité de la vie, c’est finalement plus simple d’être amoureux et plus pénible aussi »
Parfois je me demande, quel genre de personnes inventent les scénarii de films. Alors j’imagine un mec complètement farfelu, échevelé, tapant sur une vielle Remington déglinguée, dans une chambre d’hôtel miteuse et complètement délabrée, ou bien un autiste cloîtré dans un monde où le chemin le plus court entre deux points est la montagne Russe et où lorsque tu mets le pied dans le gouffre d’une bouche d’égout et ben tu te retrouves dans les bras d’une belle jeune fille au lieu de pester sur ton pantalon déchiré et puant… C’est ce que j’ai pensé lorsque j’ai vu L’Armée des 12 Singes, Memento, Fight Club aussi, et tant d’autre encore. C’est aussi ce que j’ai pensé quand j’ai vu Lucky Number : Slevin. Une fois qu’on a vu la fin, essayer de raconter le synopsis paraît désuet, et très compliqué surtout que l’intérêt n’est pas là. Disons que ce film vaut le coup d’être vu pour son scénario, pour ses acteurs, Lucy Liu tout a fait charmante, Morgan Freeman classieux, Bruce Willis mystérieux, un peu comme dans Incassable, et bien sur l’acteur principal, Josh Hartnett, qui cache bien son jeu, et c’est le moins qu’on puisse dire, et pour son réalisateur, Paul McGuigan, qui nous montre ça de façon très agréable.