dimanche 5 mars 2006

Pommes de terres au four

Une recette bien de chez moi (je vous laisse deviner où c'est, ya des indices dans le blog...).
Vous prenez des pomme de terre, vous les épluchez et les coupez en 2. Vous les mettez sur un plaque de cuisson.

Là c'est freestyle, vous faite comme vous pouvez, moi je change la recette a chaque fois et c'est toujours bon : dans mon frigo j'avait du fromage frais nature (viv' la campagne!), mais ça marche aussi avec de la crème épaisse, du fromage blanc, de la faisselle, de la ricotta..., vous mettez ca dans un grand bol et rajoutez de la crème liquide pour que ce soit bien onctueux, ensuite il faut assaisonner, sel, poivre, épices (avec du thym c'est vachement bon!), et beaucoup de noix de muscade rapée.
Ensuite vous préparez des lardons, et il me restait encore des champignons alors... le tout en petits dés.
Vous repartissez la crème sur les pommes de terre, faite attention de ne pas trop en manger au passage sinon il n'en restera plus assez! ou faites comme moi et prévoyez en plus, lol. Enfin vous repartiseez chaotiquement lardons et champignons et vous recouvrez le tout de gruyère (ou parmesan, ou... bon vous aurez compris : "vous faites avec c'que vous avez!"). Le temps de cuisson et la température dépend beaucoup des pommes de terre, mais bon en moyenne 230°C pendant 45min, moi j'aime bien quand elles sont bien cuites...

Ca sent bon jusque dans ma chambre...
P.S. : délicieux avec du poulet au cèpes (vu que c'est moins cher maintenant 'faut en profiter) mais ça c'est de la grande cuisine...

2 commentaires:

  1. A moins que je fasse ça ?

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  2. Tu as essayé le "lou pérac", ce délicieux fromage de brebis (si si! Celles qui font aussi la feta salakis) dont le berger est si sexy et si attentionné avec ses bêêêtes que sa femme (on peut considérer que le temps des reproches est placé après le mariage) lui reproche de la délaisser. C\'est vrai que , même avec la trentaine rayonnante et virile, quand on s\'est occupé d\'un troupeau de brebis (la traite du matin, c\'est sacré!), on a du mal à honorer convenablement son épouse.

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