C'est si bon...

Peu de skate en ce moment, après le repas (vers 17h30...), je décide de me dégourdir ce qui me reste de jambes. Je me retrouve dans la pente douce de ma rue. Au bout de quelques minutes je me retrouve en compagnie d’une demoiselle haute comme trois pommes roulant sur sa trottinette. Sans un mot échangé, nous nous succédons pour descendre la rue. Comme quoi sur un skateboard que ce soit à 18, 20, 30 où même 40 ans, on reste pareil à un gamin sur sa trottinette, son vélo, où sa voiture à pédale. Et j’espère que tout cela ne s’arrêtera jamais, que le sale gosse qui sommeille en moi ne quittera jamais sa planche de skateboard.